5.4 millions de morts. C'est le nombre d'enfants, de femmes et d'hommes victimes, depuis 1998, du conflit en République Démocratique du Congo (RDC). Les civils sont massacrés : pillages, viols et assassinats sont leur lot quotidien.
Ce conflit est le plus meurtrier au monde depuis la seconde guerre mondiale. La paix y est sans cesse reportée. La signature d'accords de paix entre gouvernement et certains groupes rebelles en 2002 puis les élections libres de 2006 n'ont pas suffi. Aujourd'hui, enfin, c'est la plus importante mission des Nations unies jamais déployée (la MONUC). Dans l'Est du pays où de nombreux groupes rebelles prospèrent, les ressources naturelles attisent toujours les convoitises.
Année après année, le nombre de victimes en RDC équivaut à un tsunami tous les six mois * * Selon Jan EGELAND, coordinateur humanitaire des Nations unies, 2005
La semaine prochaine, les ministres européens des Affaires étrangères et de la Défense se réuniront à Bruxelles. En outre, le Conseil de Sécurité des Nations unies a prévu de se réunir également pour réexaminer le mandat de la MONUC d'ici la fin de ce mois de novembre. La France, historiquement active sur ce dossier et membre permanent du Conseil de Sécurité, est en position forte pour faire changer les choses. Elle peut et doit s'assurer que la communauté internationale n'oublie pas les populations en danger en RDC. Le massacre doit cesser !
Mobilisons-nous ! Signez la pétition urgente adressée à Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères et européennes !
Ce conflit est le plus meurtrier au monde depuis la seconde guerre mondiale. La paix y est sans cesse reportée. La signature d'accords de paix entre gouvernement et certains groupes rebelles en 2002 puis les élections libres de 2006 n'ont pas suffi. Aujourd'hui, enfin, c'est la plus importante mission des Nations unies jamais déployée (la MONUC). Dans l'Est du pays où de nombreux groupes rebelles prospèrent, les ressources naturelles attisent toujours les convoitises.
Année après année, le nombre de victimes en RDC équivaut à un tsunami tous les six mois * * Selon Jan EGELAND, coordinateur humanitaire des Nations unies, 2005
La semaine prochaine, les ministres européens des Affaires étrangères et de la Défense se réuniront à Bruxelles. En outre, le Conseil de Sécurité des Nations unies a prévu de se réunir également pour réexaminer le mandat de la MONUC d'ici la fin de ce mois de novembre. La France, historiquement active sur ce dossier et membre permanent du Conseil de Sécurité, est en position forte pour faire changer les choses. Elle peut et doit s'assurer que la communauté internationale n'oublie pas les populations en danger en RDC. Le massacre doit cesser !
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Solidairement
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